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Envie d’investir intelligemment ? Commencez par économiser efficacement !

L’épargne et l’investissement sont deux notions essentielles pour assurer son avenir financier. Que vous soyez étudiant, salarié ou proche de la retraite, il est important de prendre le temps de réfléchir à vos objectifs et de mettre en place une stratégie adaptée.

À travers cet article, Capital Project Patrimoine vous guide à travers les différentes étapes, en vous proposant des conseils pratiques et des exemples concrets.

Les bases de l’épargne

Pourquoi commencer à épargner tôt ?

Imaginez planter une graine. Au fil des années, elle va pousser, grandir et donner des fruits. C’est la même chose avec l’argent. En commençant à épargner tôt, vous laissez à votre argent le temps de se multiplier grâce aux intérêts. Ce phénomène, appelé capitalisation, fait que les intérêts générés eux-mêmes produisent des intérêts.

  • Un exemple concret : si vous investissez 100€ par mois à partir de 20 ans, avec un rendement moyen de 5%, vous aurez accumulé plus de 150 000€ à 60 ans. Si vous commencez à 30 ans, avec les mêmes conditions, vous n’aurez accumulé qu’environ 80 000€.
  • Pourquoi c’est important : chaque année supplémentaire d’épargne amplifie considérablement le montant final. C’est ce qu’on appelle l’effet boule de neige.

Comment définir ses objectifs d’épargne ?

Définissez des objectifs clairs et réalisables pour rester motivé. Voici quelques conseils :

Soyez spécifique : au lieu de vous dire « Je veux épargner », fixez-vous un objectif précis : « Je veux acheter une maison d’ici 5 ans » ou « Je veux partir en voyage autour du monde à ma retraite ».

Soyez réaliste : vos objectifs doivent être atteignables en fonction de votre situation financière.

Hiérarchisez vos objectifs : classez vos objectifs par ordre d’importance pour mieux vous organiser.

Visualisez : imaginez-vous en train de réaliser vos objectifs. Cela peut vous aider à rester motivé pendant les périodes difficiles.

Les différents types de comptes d’épargne

Livret A : un compte d’épargne réglementé offrant un taux d’intérêt garanti et exonéré d’impôt sur le revenu.

LEP (Livret d’Épargne Populaire) : un compte réservé aux personnes aux revenus modestes, offrant un taux d’intérêt très attractif.

Compte épargne ordinaire : un compte d’épargne plus flexible que le Livret A, mais généralement moins rémunérateur.

Les règles de base d’un budget

  • Notez toutes vos dépenses pendant un mois pour identifier les postes sur lesquels vous pouvez réduire vos coûts.
  • Déterminez le montant que vous pouvez consacrer à l’épargne chaque mois.
  • Mettez en place un virement automatique de votre compte courant vers votre compte épargne.

Les différents types d’investissement

L’investissement : qu’est-ce que c’est ?

L’investissement consiste à placer son argent dans des actifs qui ont le potentiel de générer des rendements supérieurs à l’inflation.

Les différents supports d’investissement

Actions : représentent une part de propriété dans une entreprise.

Obligations : des titres de créance émis par des entreprises ou des États.

Immobilier : investir dans des biens immobiliers (location, SCPI, etc.).

Fonds communs de placement : des produits financiers qui regroupent les fonds de plusieurs investisseurs.

Les risques associés à chaque type d’investissement

Chaque type d’investissement comporte des risques. Les actions sont généralement considérées comme plus risquées que les obligations, mais elles offrent également un potentiel de rendement plus élevé.

Comment choisir ses investissements ?

Votre choix d’investissement dépend de votre profil d’investisseur (aversion au risque, horizon de placement, objectifs financiers). N’hésitez pas à vous faire accompagner par un conseiller en gestion de patrimoine.

Conseils pour chaque profil

Les étudiants : comment commencer à épargner avec un petit budget ?

Fixez des petits objectifs réalisables : commencez par des objectifs modestes (un week-end, un nouvel ordinateur, etc.).

Optimiser ses dépenses : analysez vos dépenses quotidiennes pour identifier les postes sur lesquels vous pouvez faire des économies.

Bénéficier des avantages étudiants : de nombreux réductions et offres sont proposées aux étudiants.

Trouver des petits jobs : les jobs étudiants sont une excellente manière d’arrondir ses fins de mois.

Les salariés : les solutions d’épargne adaptées

Plan d’épargne salariale (PEA) : profitez des avantages fiscaux et sociaux offerts par les dispositifs d’épargne salariale.

Assurance vie : un contrat d’assurance vie peut vous permettre de constituer un capital tout en bénéficiant d’une fiscalité avantageuse.

Immobilier locatif : si vous avez un apport personnel suffisant, investir dans l’immobilier locatif peut être une solution intéressante pour générer des revenus complémentaires.

Les pré-retraités : préparer sa retraite sereinement

Faire le point sur ses droits à la retraite : renseignez-vous auprès de votre caisse de retraite sur le montant de votre future pension.

Optimiser ses revenus complémentaires : pensez aux revenus locatifs, aux dividendes, ou encore aux pensions complémentaires.

Protéger son patrimoine : mettez en place les dispositifs de protection adaptés (assurance-dépendance, testament, etc.).

Les erreurs à éviter

Ne pas commencer assez tôt : plus tôt vous commencez à épargner, plus votre argent aura le temps de fructifier.

Ne pas se fixer d’objectifs clairs : sans objectifs précis, il est difficile de rester motivé.

Ne pas diversifier ses placements : une diversification excessive peut réduire les risques, mais elle peut aussi limiter les rendements.

Prendre des décisions impulsives : ne vous laissez pas influencer par les conseils de votre entourage sans avoir pris le temps de vous renseigner.

Conclusion

L’épargne et l’investissement sont les clés d’un avenir financier serein. Envie de concrétiser vos projets ? Les experts de Capital Project Patrimoine sont là pour vous accompagner. Bénéficiez d’un bilan patrimonial gratuit et d’une stratégie personnalisée. Contactez-nous dès maintenant pour faire le premier pas vers votre indépendance financière.

N’oubliez pas, l’argent ne fait pas le bonheur, mais il y contribue !

La révolution de l’épargne : les nouvelles obligations d’investissement dans l’assurance vie et le PER

La loi industrie verte, promulguée en octobre 2023, a introduit un bouleversement majeur dans le paysage de l’épargne en France. À compter d’octobre 2024, les contrats d’assurance vie et les plans d’épargne retraite (PER) seront soumis à de nouvelles obligations d’investissement. L’objectif ? Renforcer le soutien aux petites et moyennes entreprises (PME) et diversifier les portefeuilles des épargnants. Capital Project Patrimoine décrypte de cette réforme et de ses implications.

Une orientation vers l’économie réelle

Jusqu’à présent, l’assurance vie et le PER étaient principalement investis en actions cotées, obligations et autres actifs financiers. Avec la nouvelle loi, une partie des fonds devra être allouée à des entreprises non cotées, notamment des PME et des ETI. Cette mesure vise plusieurs objectifs.

Stimuler l’investissement dans l’économie réelle

En facilitant l’accès au financement pour les entreprises en croissance, on favorise l’innovation et la création d’emplois.

Diversifier les sources de rendement

Les entreprises non cotées peuvent offrir des perspectives de croissance plus élevées que les entreprises matures et cotées.

Réduire la dépendance aux marchés financiers

En diversifiant les actifs, les épargnants se protègent mieux contre les fluctuations des marchés.

Quelles conséquences pour les épargnants ?

Choisir son contrat avec précaution

Face à cette nouvelle donne, les épargnants devront être particulièrement vigilants lors du choix de leur contrat d’assurance vie ou de leur PER. Il est essentiel de se renseigner sur la politique d’investissement du gestionnaire, sur la part allouée aux entreprises non cotées et sur les frais associés.

Comprendre les risques

L’investissement dans des entreprises non cotées présente des risques spécifiques, tels que :

  • La liquidité : il peut être difficile de revendre ses parts rapidement en cas de besoin.
  • La volatilité : la valeur des parts peut fluctuer fortement à court terme.
  • Le risque de défaillance de l’entreprise : les entreprises non cotées sont plus exposées à des difficultés financières.

Bénéficier d’un accompagnement personnalisé

Pour prendre les bonnes décisions, il est recommandé de se faire accompagner par un conseiller en gestion de patrimoine. Capital Project Patrimoine est un excellent exemple de cabinet spécialisé dans ce domaine.

Créé en novembre 2023, Capital Project Patrimoine s’appuie sur une solide expérience acquise par 3D Patrimoine. Leur équipe d’experts met à votre disposition un savoir-faire reconnu pour vous aider à optimiser votre patrimoine et à sécuriser votre avenir.

Pourquoi choisir Capital Project Patrimoine ?

Une approche personnalisée : chaque situation financière est unique. Capital Project Patrimoine vous propose des solutions sur mesure, adaptées à vos objectifs et à votre profil de risque.

Une expertise diversifiée : que vous souhaitiez préparer votre retraite, investir dans l’immobilier, ou optimiser votre fiscalité, leurs experts sauront vous conseiller.

Une transparence totale : Capital Project Patrimoine met un point d’honneur à vous informer clairement sur les produits et les services proposés, ainsi que sur les risques encourus.

Un accompagnement sur le long terme : nous sont à vos côtés tout au long de votre parcours financier, pour vous aider à atteindre vos objectifs.

N’hésitez pas à prendre contact avec nous pour discuter de votre projet.

Les défis pour les gestionnaires d’actifs

Les gestionnaires d’actifs devront relever plusieurs défis pour s’adapter à cette nouvelle réglementation :

Construire des portefeuilles diversifiés

La construction de portefeuilles diversifiés est un exercice complexe qui se complique encore avec l’introduction des entreprises non cotées. Les gestionnaires devront :

  • Définir une allocation d’actifs optimale en déterminant le pourcentage idéal à investir dans les entreprises cotées, les entreprises non cotées, les obligations, l’immobilier, etc., en fonction du profil de risque de chaque client.
  • Pour mesurer la performance des portefeuilles, les gestionnaires devront s’appuyer sur des indices de référence adaptés, qui incluent à la fois des entreprises cotées et non cotées.
  • Les entreprises non cotées sont généralement moins liquides que les entreprises cotées. Les gestionnaires devront mettre en place des mécanismes pour assurer la liquidité des portefeuilles et permettre aux investisseurs de retirer leurs fonds en cas de besoin.

Sélectionner les entreprises non cotées

La sélection des entreprises non cotées est un processus rigoureux qui nécessite une expertise spécifique. Les gestionnaires devront :

  • Évaluer la qualité du projet, la solidité financière de l’entreprise, la compétence de l’équipe dirigeante, etc.
  • Pour réduire le risque, il est essentiel de répartir les investissements dans plusieurs entreprises non cotées, opérant dans des secteurs d’activité différents.
  • Les outils d’évaluation traditionnels utilisés pour les entreprises cotées ne sont pas toujours adaptés aux entreprises non cotées. Les gestionnaires devront développer de nouvelles méthodologies.

Communiquer de manière transparente

La communication est un élément clé de la relation entre le gestionnaire et son client. Pour instaurer un climat de confiance, La marche à suivre :

  • Les concepts financiers liés aux investissements dans les entreprises non cotées peuvent être complexes. Les gestionnaires devront s’efforcer de les expliquer de manière claire et pédagogique.
  • Chaque client a des besoins et des attentes spécifiques. Les gestionnaires devront adapter leur communication en fonction du profil de chaque investisseur.
  • Les investisseurs souhaitent pouvoir suivre l’évolution de leurs placements en temps réel. Les gestionnaires devront mettre à disposition des outils de suivi en ligne.

Les enjeux de la transparence et de la communication

La transparence est un enjeu clé de cette réforme. Les épargnants ont le droit de connaître la composition exacte de leur portefeuille et les risques associés à chaque investissement. Les gestionnaires devront mettre en place des outils de reporting clairs et accessibles pour permettre aux épargnants de suivre l’évolution de leurs placements.

De plus, une communication pédagogique est nécessaire pour aider les épargnants à comprendre les enjeux de cette réforme et à prendre des décisions éclairées. Les assureurs et les gestionnaires d’actifs ont un rôle important à jouer dans cette pédagogie financière.

Les perspectives d’avenir

Cette réforme marque une nouvelle étape dans l’évolution de l’épargne en France. Elle offre de nouvelles opportunités pour les épargnants de soutenir l’économie réelle et de diversifier leurs portefeuilles. Cependant, elle soulève également de nombreuses questions et nécessite une adaptation des acteurs du marché.

À long terme, elle pourrait conduire à une transformation profonde du marché de l’assurance vie et du PER. Les produits d’épargne pourraient devenir plus complexes et plus personnalisés, avec une offre plus large d’investissements dans les entreprises non cotées.

En conclusion

La réforme de l’assurance vie et du PER offre de nouvelles opportunités d’investissement, mais elle complexifie également la gestion de patrimoine. Pour tirer pleinement parti de ces évolutions, il est recommandé de se faire accompagner par des experts. Contactez Capital Project Patrimoine pour être accompagné dans toutes les étapes de votre projet. Nous vous proposerons des solutions personnalisées dans la transparence la plus totale. Grâce à notre expertise et à notre approfondie du marché, vous pourrez construire un patrimoine solide et pérenne.

Source de cet article :

Nouvelles obligations pour l’investissement dans les assurances vie et PER à partir d’octobre 2024 – patrimoine-magazine.eu

Où placer son argent pour préparer sa retraite ?

La retraite est une étape importante de la vie qui mérite toute votre attention. Pour vous assurer un avenir financier serein, il est essentiel de vous y préparer dès maintenant. Quels placements correspondent le mieux à vos besoins ? Comment optimiser votre fiscalité ? Capital Project Management, cabinet expert en gestion de patrimoine à La Rochelle, vous accompagne à chaque étape de votre démarche. Découvrez nos conseils sur mesure pour constituer un capital solide et profiter pleinement de votre retraite.

Pourquoi investir pour sa retraite ? Les chiffres parlent d’eux-mêmes

Le système de retraite français, bien qu’un pilier de la sécurité sociale, présente des limites. Les chiffres sont clairs : la pension moyenne ne suffit pas à maintenir un niveau de vie confortable à la retraite. Plusieurs facteurs expliquent cette situation :

  • Nous vivons plus longtemps, ce qui allonge la durée pendant laquelle nous devons financer notre retraite.
  • Nos attentes en matière de retraite ont changé. Nous souhaitons plus de loisirs, de voyages, et un niveau de vie similaire à celui de notre vie active.
  • Les réformes successives du système de retraite ont impacté le montant des pensions, notamment pour les jeunes générations.

D’après le Recueil statistique de l’Assurance retraite – Edition 2023 :

  • 21 % de la population résidant en France est retraitée au régime général au 31 décembre 2022, soit près de 15 millions de retraités ;
  • La population des retraités du régime général a augmenté de 47 % en 20 ans ;
  • 95 % des retraités bénéficient d’un droit direct (retraite personnelle) ;
  • Le montant mensuel moyen brut servi est de 800 € ;
  • 1,1 million de retraités résident à l’étranger ;
  • En 2022, il y a eu 703 000 nouveaux retraités de droit direct, avec un âge moyen de 63 ans ;
  • Parmi ces nouveaux retraités, 48 % ont une carrière complète au régime général et 21 % bénéficient d’un dispositif permettant de partir avant l’âge légal.

Pourquoi se préparer financièrement avant la retraite ?

L’investissement personnel apparaît comme une solution complémentaire indispensable. En constituant un patrimoine financier, vous vous assurez un complément de revenus à la retraite, vous permettant ainsi de :

  • Compenser la baisse potentielle de vos revenus liés à la retraite ;
  • De réduire l’incertitude et l’angoisse liées à la retraite ;
  • D’avoir une plus grande autonomie et de réaliser vos projets.

Optimisez votre retraite grâce à des placements adaptés

La préparation de sa retraite ne se limite pas aux régimes traditionnels de retraite et aux pensions complémentaires. Il existe divers placements spécifiquement conçus pour vous aider à constituer un revenu supplémentaire pour vos années à venir.

Parmi ces solutions, le Plan Épargne Retraite (PER), lancé en octobre 2019, se distingue par son orientation vers l’épargne à long terme et son soutien au financement des entreprises. Ce dispositif moderne remplace des produits plus anciens tels que le PERP, le PERCO, et le PREFON, désormais fermés à la commercialisation depuis octobre 2020. Toutefois, les contrats déjà souscrits avant cette date continuent de fonctionner jusqu’à leur terme.

En parallèle, des options plus traditionnelles comme l’assurance vie, l’épargne salariale, ou les comptes titres restent des outils précieux pour améliorer vos revenus à la retraite. De plus, investir jeune dans l’immobilier, que ce soit pour acquérir votre résidence principale ou pour un investissement locatif, peut vous permettre de vous assurer un avenir financier plus confortable.

Le Plan d’Épargne Retraite (PER)

Le Plan d’Épargne Retraite (PER) est conçu comme une solution d’épargne à long terme, destinée à vous offrir un complément de revenu à la retraite. Ce plan peut se matérialiser sous diverses formes, telles qu’un contrat d’assurance vie en unités de compte ou des placements financiers comme un compte-titres, avec pour objectif de faire fructifier votre épargne.

À l’âge de la retraite, vous pourrez récupérer les fonds accumulés sous forme de rente viagère ou de capital, selon les modalités spécifiques du PER souscrit. Bien que l’épargne soit généralement bloquée jusqu’à la retraite, des cas de déblocage anticipé sont prévus, par exemple pour l’achat d’une résidence principale ou en cas de cessation d’activité. Ce dispositif est par ailleurs soutenu par des avantages fiscaux et sociaux qui réduisent l’impôt sur le revenu, rendant le PER particulièrement attractif.

Il existe différentes options de souscription au PER : à titre individuel, où il remplace les anciens contrats PERP et Madelin, ou au sein de l’entreprise. Dans ce dernier cas, il peut être proposé sous forme de PER collectif, accessible à tous les salariés, succédant au PERCO actuel, ou comme un plan d’épargne retraite obligatoire, succédant aux contrats dits « articles 83 ».

L’assurance vie

L’assurance vie est un outil polyvalent qui s’adapte à divers besoins. Elle permet non seulement de désigner un bénéficiaire en cas de décès, mais aussi de prévoir une sortie en rente pour le souscripteur s’il est en vie à l’échéance du contrat. De plus, les contrats d’assurance vie classiques offrent la possibilité d’effectuer des rachats partiels ou totaux.

Par ailleurs, les salariés peuvent profiter de l’épargne salariale au sein de leur entreprise, en optant pour un Plan d’Épargne Entreprise (PEE) ou en participant à l’actionnariat salarié. Ces sommes, bloquées sur le long terme, bénéficient d’avantages fiscaux et sont généralement versées sous forme de rente viagère à la retraite, offrant ainsi un complément de revenu.

Enfin, l’investissement en comptes titres ou en plans d’épargne actions permet de constituer un portefeuille d’actions sur le long terme, avec des conditions fiscales favorables pour optimiser son épargne.

L’immobilier

Investir dans l’immobilier constitue indiscutablement une stratégie solide, comparable à l’assurance vie ou aux comptes titres. En acquérant votre résidence principale suffisamment tôt, vous pourriez atteindre l’âge de la retraite sans avoir à rembourser de prêt immobilier, évitant ainsi les coûts liés au loyer. L’immobilier locatif, quant à lui, permet de constituer un patrimoine durable tout en générant des revenus complémentaires pour améliorer votre retraite.

Grâce à des simulations, vous pouvez évaluer la rentabilité de votre projet immobilier, estimer les frais d’acquisition et bénéficier des avantages fiscaux offerts par divers dispositifs, comme la loi Pinel. Un autre moyen d’investir dans l’immobilier locatif est de se tourner vers la « pierre papier, » en acquérant des parts dans des sociétés telles que les SCPI, les OPCI ou les SIIC.

Pour les propriétaires, le viager immobilier représente également une option intéressante, permettant de percevoir un capital initial, appelé bouquet, ainsi qu’une rente mensuelle pour compléter vos revenus.

En conclusion

Pour préparer sereinement votre retraite, vous devez parvenir à diversifier efficacement vos placements. En combinant des solutions telles que le Plan Épargne Retraite, l’assurance vie, l’épargne salariale et l’immobilier, vous pourrez compenser la baisse de vos revenus futurs tout en sécurisant votre niveau de vie. Il faut donc anticiper et investir dès aujourd’hui, en tenant compte de vos objectifs et de votre situation personnelle. Contactez Capital Project Management d’aborder cette étape de la vie avec confiance et sérénité !

Sources de cet article :

Retraite : Quel montant de pension pour une retraite tranquille ? – placement.meilleurtaux.com

Recueil statistique de l’Assurance retraite – Edition 2023 – lassuranceretraite.fr

Pourquoi investir dans un Plan Épargne Avenir Climat (PEAC) ?

Depuis le 1er juillet 2024, un nouveau produit d’épargne destiné aux jeunes de moins de 21 ans voit le jour : le Plan Épargne Avenir Climat (PEAC). Ce produit vise à encourager les investissements dans la transition écologique. Découvrons ensemble ce qu’est le PEAC, comment le souscrire et sa fiscalité.

En quoi consiste le Plan Épargne Avenir Climat ?

Le PEAC, introduit par la loi industrie verte, est un plan d’épargne exclusivement réservé aux jeunes de moins de 21 ans. Ce plan permet d’investir dans divers supports financiers tels que des actions et des obligations, orientés vers la transition écologique. Contrairement aux livrets d’épargne réglementés (comme le Livret A ou le LDDS), le PEAC n’offre pas de rémunération fixe et son capital n’est pas garanti, étant soumis aux fluctuations des marchés financiers.

Ce produit financier novateur marque une rupture avec les classiques livrets d’épargne. Il permet de prendre des risques tout en participant à des investissements responsables. Le PEAC est automatiquement fermé dès lors que son titulaire atteint l’âge de 30 ans. Lors de l’ouverture, une date de liquidation envisagée doit être mentionnée, modifiable à tout moment sans dépasser l’âge de 30 ans.

Contexte et remplacement du PER

Le PEAC remplace une possibilité disparue le 1er janvier : en d’autres termes, des parents ne peuvent plus ouvrir de plan épargne retraite (PER) individuel au nom de leurs progéniture. Cette interdiction est compensée par le PEAC, offrant une nouvelle opportunité d’épargne dédiée aux jeunes, notamment pour financer des projets futurs tout en bénéficiant d’avantages fiscaux.

Comment ouvrir un compte PEAC ?

Le PEAC est accessible à toute personne de moins de 21 ans résidant en France, avec une limitation à un seul plan par personne. Vous pouvez souscrire ce plan auprès des établissements suivants :

  • Banques
  • Entreprises d’investissement
  • Assureurs
  • Mutuelles
  • Institutions de prévoyance

En fonction de l’établissement choisi, le PEAC peut prendre la forme d’un compte titres associé à un compte espèces ou d’un contrat de capitalisation.

Comment marche le PEAC ?

Les versements sur le PEAC sont limités à 22 950 euros, plafond appliqué dans le cadre du Livret A. Les versements ne sont pas encadrés et peuvent être réalisés à tout moment. Les fonds ainsi collectés servent à acquérir des titres financiers (actions, obligations) dédiés au financement de la transition écologique. Les placements doivent obligatoirement être réalisés dans des solutions financiers labellisés ISR (Investissement Socialement Responsable) ou France finance verte.

Information et pédagogie

Les titulaires du PEAC seront régulièrement informés et éduqués quant à la performance de leur plan, les frais et l’impact environnemental.

La disponibilité des fonds

Les fonds du PEAC sont bloqués jusqu’à la majorité (18 ans), avec une période de blocage minimale de cinq ans. Si vous ouvrez un PEAC, par exemple, à 13 ans, les fonds seront disponibles à 18 ans. Après cette période de blocage et jusqu’à la clôture automatique à 30 ans, les retraits partiels sont possibles à tout moment. Cependant, aucun nouveau versement ne peut être effectué après un retrait.

Retraits anticipés

Ils sont possibles dans les cas suivants :

  • Décès du titulaire
  • Invalidité du titulaire (taux d’incapacité d’au moins 80 %)
  • Décès d’un des parents

Une gestion pilotée pour réduire les risques financiers

Le PEAC, conçu pour le moyen et long terme, implique une période de blocage minimale de cinq ans. Une gestion pilotée permet de sécuriser le capital à l’approche de la date d’échéance. Ainsi, deux ans avant la date de liquidation, au moins 70 % des actifs du PEAC doivent être investis dans des placements à faible risque. Le gestionnaire ajuste ce plafond de sécurisation au moins une fois tous les 6 mois.

Il est également possible d’opter pour une gestion libre de l’allocation des actifs, permettant aux représentants légaux de piloter le plan jusqu’aux 18 ans du titulaire. Après cette date, le titulaire prend le relais.

La fiscalité rattachée au PEAC

Le PEAC est fiscalement avantageux. Les gains et plus-values ne sont pas soumis à l’impôt sur le revenu ni aux prélèvements sociaux. Cependant, des frais de gestion ou de tenue de compte peuvent s’appliquer, bénéficiant au gestionnaire.

Frais de transfert

Les frais de transfert du plan d’un établissement à un autre sont plafonnés à 1 % des sommes en compte et ne peuvent être prélevés si le plan a plus de 5 ans et si le titulaire a plus de 18 ans.

Un univers d’investissement moderne

Les jeunes pourront placer leur épargne dans des fonds contribuant à la transition écologique, labellisés Greenfin ou ISR. D’autres titres, comme les obligations vertes, pourront également être proposés. La performance du PEAC dépendra des supports d’investissement choisis, sans garantie en capital.

En conclusion

Le Plan Épargne Avenir Climat (PEAC) représente une opportunité pour les jeunes d’investir dans des projets écologiques tout en bénéficiant d’avantages fiscaux. Pour toute question ou pour ouvrir votre PEAC, n’hésitez pas à contacter les experts de Capital Project Patrimoine à La Rochelle.

Sources de cet article :

À quoi ressemble le plan épargne avenir climat (PEAC) ? – quechoisir.org

Plan épargne avenir climat (PEAC) : comment ça fonctionne ? – economie.gouv.fr

Loi Denormandie prolongée jusqu’en 2027

Un nouveau souffle pour l’investissement immobilier ancien

La loi Denormandie, mise en place en 2019 pour encourager la rénovation et la location de logements anciens dans des quartiers défavorisés, a connu un franc succès. Forte de son impact positif sur la revitalisation des centres-villes et l’attractivité des quartiers anciens, la loi a été prolongée jusqu’en 2027 par l’article 72 de la loi de finances pour 2024. Cette prolongation s’accompagne d’évolutions majeures qui ouvrent de nouvelles perspectives pour les investisseurs immobiliers. Capital Project Patrimoine, cabinet de gestion de patrimoine à La Rochelle, revient sur ce sujet qui peut en intéresser plus d’un !

Rappel sur ce que prévoit la loi Denormandie

La loi Denormandie, mise en place par le gouvernement en 2019 et prolongée jusqu’en 2027, est un dispositif fiscal qui encourage l’investissement locatif dans l’ancien rénové, situé dans des zones considérées comme défavorisées par la législation. Son objectif est de revitaliser les centres-villes et d’améliorer l’habitat en offrant aux investisseurs des avantages fiscaux attractifs.

Comment fonctionne la loi Denormandie ?

Acheter un bien immobilier ancien : le bien doit être situé dans une zone éligible Denormandie (définie par le gouvernement) et doit faire l’objet de travaux de rénovation importants (au moins 25 % du coût total de l’opération).

Réaliser des travaux de rénovation : les travaux doivent permettre d’améliorer la performance énergétique du logement d’au moins 20 % pour les logements individuels et 30% pour les logements collectifs.

Louer le bien pendant une durée minimale : le bien doit être loué pendant au moins 6, 9 ou 12 ans à des locataires modestes respectant des plafonds de loyers et de ressources.

Quels sont les avantages fiscaux de la loi Denormandie ?

Réduction d’impôt sur le revenu : les investisseurs bénéficient d’une réduction d’impôt sur le revenu allant de 12 % à 21 % du prix du bien, selon la durée de location choisie.

Investissement locatif rentable : la loi Denormandie permet de générer des revenus locatifs tout en bénéficiant d’avantages fiscaux.

Contribution à la revitalisation des quartiers : en investissant dans la rénovation d’un logement ancien, vous participez à l’amélioration du cadre de vie des habitants et à la revitalisation des quartiers défavorisés.

Qui peut bénéficier de la loi Denormandie ?

Investisseurs particuliers : la loi Denormandie est ouverte à tous les investisseurs particuliers, y compris les primo-accédants à l’investissement locatif.

Sociétés immobilières : les sociétés civiles immobilières (SCI) et les sociétés immobilières résidentielles (SIR) peuvent également bénéficier du dispositif.

À savoir avant d’investir en loi Denormandie

Le risque locatif : Il est important de bien sélectionner le locataire et de souscrire une assurance loyers impayés.

Les travaux de rénovation : le coût des travaux peut être important et il est important de bien les budgétiser.

La fiscalité : la loi Denormandie est un dispositif fiscal complexe, il est important de se faire conseiller par un professionnel.

En résumé, la loi Denormandie est un dispositif fiscal intéressant qui permet de combiner performance économique et impact positif sur le territoire. Si vous envisagez d’investir dans l’immobilier locatif, la loi Denormandie est une option à étudier de près.

Un champ d’application élargi

L’une des principales nouveautés réside dans l’élargissement du champ d’application de la loi. Désormais, les logements situés dans des copropriétés en difficulté financière peuvent bénéficier du dispositif Denormandie, sans restriction géographique. Cette mesure vise à encourager la rénovation de copropriétés dégradées, souvent situées dans des quartiers anciens, et à contribuer ainsi à l’amélioration du cadre de vie des habitants.

Des conditions d’éligibilité précisées

Pour être éligible au dispositif Denormandie, le bien immobilier doit répondre à plusieurs critères. Tout d’abord, il doit être acquis entre le 1er janvier 2019 et le 31 décembre 2027. Ensuite, le coût total du projet, comprenant l’acquisition du bien et les travaux de rénovation, ne doit pas dépasser 300 000 euros. Enfin, les travaux de rénovation doivent représenter au moins 25 % du coût total du projet et permettre une amélioration de la performance énergétique d’au moins 20 % pour les logements individuels et 30 % pour les logements collectifs.

Des avantages fiscaux attractifs

Les investisseurs qui souscrivent à un contrat Denormandie peuvent bénéficier d’une réduction d’impôt sur le revenu allant de 12 % à 21 %, en fonction de la durée de location du bien rénové. Pour une location de 6 ans, la réduction d’impôt s’élève à 12 % du prix du bien. Pour une location de 9 ans, la réduction d’impôt est de 18 % et pour une location de 12 ans, elle atteint 21 %.

Un engagement locatif pour une stabilité durable

En contrepartie des avantages fiscaux accordés, les propriétaires s’engagent à louer le bien rénové pendant une durée minimale de 6, 9 ou 12 ans. Cette condition permet de garantir une stabilité locative pour les habitants et de contribuer à la revitalisation des quartiers anciens.

Un dispositif porteur de sens pour un investissement responsable

La loi Denormandie offre une opportunité unique pour les investisseurs immobiliers de conjuguer performance économique et impact positif sur le territoire. En investissant dans la rénovation de logements anciens, les investisseurs contribuent à la revitalisation des centres-villes, à l’amélioration du cadre de vie des habitants et à la préservation du patrimoine architectural.

Conclusion

La prolongation et les évolutions de la loi Denormandie confirment l’engagement du gouvernement à favoriser la rénovation immobilière et à redynamiser les quartiers anciens. Ce dispositif offre aux investisseurs un cadre fiscal attractif pour réaliser des investissements responsables et porteurs de sens, tout en contribuant à l’amélioration du cadre de vie et à la préservation du patrimoine immobilier français.

Contactez Capital Project Patrimoine, cabinet spécialisé en immobilier si vous souhaitez investir dans le cadre de la loi Denormandie. Nous pourrons vous apporter une expertise solide et un accompagnement personnalisé tout au long du processus d’investissement.

Assurance vie : pourquoi commencer tôt, même avec peu d’argent ?

L’assurance vie est souvent perçue comme un produit d’épargne destiné aux personnes âgées, souhaitant protéger leurs proches en cas de décès ou se constituer un capital pour la retraite. Pourtant, il existe de nombreux avantages à souscrire un contrat d’assurance vie dès ses jeunes années, même avec des sommes modestes. Capital Project Patrimoine, cabinet de gestion de patrimoine à La Rochelle, vous en dit plus sur la question.

Bénéficier des avantages fiscaux plus rapidement

L’un des principaux atouts de l’assurance vie réside dans sa fiscalité avantageuse. En effet, après huit ans de détention, les gains générés par le contrat (intérêts, plus-values…) sont exonérés d’impôt sur le revenu, à hauteur de 4 600 euros pour une personne seule et 9 200 euros pour un couple marié ou pacsé.

Plus vous souscrivez tôt, plus vite vous profitez de ces avantages fiscaux. En effet, l’abattement de 4 600 euros/9 200 euros est renouvelable chaque année après huit ans. Ainsi, un jeune actif qui investit 100 euros par mois dans son assurance vie pourra bénéficier de cet abattement dès la neuvième année, soit sur un capital cumulé de plus de 1 000 euros.

Profiter des intérêts composés

L’assurance vie permet également de profiter du phénomène des intérêts composés, un mécanisme puissant qui démultiplie les gains sur le long terme.

Prenons l’exemple d’un jeune qui investit 100 euros dans son contrat d’assurance vie, avec un rendement annuel moyen de 4 %. Chaque année, des intérêts seront générés non seulement sur les 100 euros investis initialement, mais également sur les intérêts accumulés les années précédentes.

Au bout de dix ans, le capital cumulé atteindra 814,4 euros, soit 314,4 euros de gains. Si les intérêts n’étaient pas composés, le capital final serait de 750 euros, soit une différence de 64,4 euros.

Acquérir de l’expérience en matière d’investissement

Investir dans une assurance vie dès ses jeunes années permet d’acquérir de précieuses connaissances en matière de placement et de marchés financiers. En effet, en gérant son contrat et en suivant son évolution, le jeune actif se familiarise avec les différents supports d’investissement, les notions de risque et de rendement, et les stratégies à adopter pour atteindre ses objectifs financiers.

Cette expérience sera d’autant plus précieuse à l’avenir lorsque le jeune deviendra un adulte avec des sommes plus importantes à placer.

Se constituer un capital progressivement

Il n’est pas nécessaire de disposer de gros montants pour souscrire un contrat d’assurance vie. La plupart des compagnies d’assurance proposent des versements mensuels à partir de 50 euros, voire moins.

L’important est de se fixer un objectif d’épargne réaliste et d’alimenter son contrat régulièrement, même par de petites sommes.

Lisser son épargne dans le temps

L’assurance vie offre une grande flexibilité en ce qui concerne les versements. Il est possible d’effectuer des versements ponctuels, d’augmenter ou de diminuer les cotisations en fonction de ses revenus et de ses besoins.

Cette flexibilité permet de lisser son épargne dans le temps et de s’adapter aux aléas de la vie.

Diversifier ses placements

L’assurance vie propose une large gamme de supports d’investissement, allant du fonds en euros garanti, sécuritaire mais peu rémunérateur, aux unités de compte (UC) plus risquées mais potentiellement plus rentables.

Un jeune actif qui souscrit un contrat d’assurance vie peut commencer par investir une partie de son argent dans le fonds en euros, pour se constituer un matelas de sécurité, et le reste dans des UC plus dynamiques, pour booster la performance de son contrat sur le long terme.

Choisir un contrat adapté à ses besoins

Avant de souscrire un contrat d’assurance vie, il est important de comparer les différentes offres du marché et de choisir un contrat adapté à ses besoins et à son profil de risque.

Il faut notamment prêter attention aux frais (frais d’entrée, frais de gestion…), à la diversité des supports d’investissement et aux performances passées du contrat.

Pour aller plus loin : assurance vie ou PEA ?

L’assurance vie n’est pas le seul produit d’épargne intéressant pour les jeunes actifs. Le Plan d’Épargne en Actions (PEA) est une autre option à envisager, présentant des avantages similaires mais aussi quelques spécificités.

Avantages du PEA par rapport à l’assurance vie

Fiscalité plus attractive à court terme : Les gains réalisés sur un PEA (dividendes et plus-values) sont exonérés d’impôt sur le revenu après cinq ans de détention, contrairement aux huit ans pour l’assurance vie.

Meilleure adéquation pour les investissements en actions : Le PEA est exclusivement investi en actions européennes. Cela convient parfaitement à un jeune actif qui dispose d’un horizon d’investissement long et qui peut supporter une certaine prise de risque. En effet, le marché boursier est historiquement plus rentable sur le long terme que les fonds en euros de l’assurance vie, mais il est également plus volatil.

Inconvénients du PEA par rapport à l’assurance vie

Moins de flexibilité : Contrairement à l’assurance vie, les versements sur un PEA sont plafonnés. Il n’est pas possible non plus de réaliser des retraits partiels sans clôture du plan, ce qui entraîne la perte de l’ancienneté fiscale.

Pas de garantie en capital : Contrairement aux fonds en euros de l’assurance vie, le capital investi sur un PEA n’est pas garanti. La valeur du placement peut fluctuer en fonction de l’évolution des marchés financiers.

Pour résumer la situation

L’assurance vie et le PEA sont tous deux des produits d’épargne intéressants pour les jeunes actifs. Le choix entre les deux dépendra principalement de vos objectifs financiers et de votre horizon d’investissement.

Si vous privilégiez la sécurité du capital et la flexibilité, l’assurance vie est une option judicieuse. Vous pourrez investir une partie de votre épargne dans le fonds en euros garanti et l’autre partie dans des UC pour booster le rendement.

Si vous êtes prêt à prendre un peu plus de risque et que vous souhaitez investir principalement en actions pour profiter de leur potentiel de rendement à long terme, le PEA est une solution intéressante.

Conclusion

Il n’est pas nécessaire d’opposer assurance vie et PEA. Ces deux produits d’épargne peuvent être parfaitement complémentaires dans le cadre d’une stratégie d’investissement à long terme et diversifiée. L’important est de bien comprendre les caractéristiques de chacun et de les adapter à vos besoins et à votre profil d’investisseur.

Gestion de patrimoine à La Rochelle : protégez-vous contre les risques de défaut

En tant que particulier soucieux de son avenir financier, vous avez sans doute déjà pris des mesures pour constituer et faire fructifier votre patrimoine. Investissements immobiliers, placements financiers, épargne retraite… les options sont nombreuses pour atteindre vos objectifs patrimoniaux. Cependant, il est essentiel de ne pas négliger un aspect clé de cette démarche : la protection contre les risques de défaut.

Capital Project Patrimoine, cabinet de gestion de patrimoine à La Rochelle, vous explique clairement, avec des exemples concrets, en quoi consiste cette protection et comment elle peut sécuriser votre avenir financier. Vous découvrirez également des stratégies éprouvées pour minimiser les risques et maximiser la résilience de votre portefeuille d’investissements.

Comprendre les risques de défaut

Le risque de défaut survient lorsque l’émetteur d’un titre financier, tel qu’une entreprise ou un État, est dans l’incapacité de remplir ses obligations contractuelles. Cela peut se traduire par un retard de paiement, une restructuration de la dette, voire une faillite. Les conséquences pour les investisseurs peuvent être importantes, allant d’une perte partielle de capital à une perte totale.

Les différentes formes de risque de défaut

Il existe plusieurs types de risques de défaut, chacun présentant des caractéristiques et des implications différentes :

Risque de défaut émetteur

Ce risque est lié à la santé financière de l’émetteur d’une obligation ou d’un autre instrument de dette. Concrètement, cela signifie qu’une entreprise en difficulté financière est plus susceptible de rencontrer des problèmes pour rembourser ses dettes. Si vous investissez, par exemple, dans des obligations émises par une entreprise et que cette entreprise fait face à des difficultés financières, elle pourrait ne pas être en mesure de payer les intérêts dus sur ces obligations ou de rembourser le capital à l’échéance.

Risque de défaut souverain

Ce risque concerne les titres émis par l’État. Un pays confronté à une crise économique ou à une instabilité politique peut se retrouver dans l’incapacité d’honorer ses engagements. Par exemple, la crise de la dette grecque en 2010 a entraîné une restructuration importante de la dette publique, ce qui a eu pour conséquence des pertes importantes pour les investisseurs qui détenaient des obligations grecques.

Risque de crédit

Ce risque est lié à la qualité du crédit d’un emprunteur. Un emprunteur avec un mauvais profil de crédit est plus susceptible de ne pas rembourser son prêt. Prenons le cas d’un particulier ayant un historique de crédit défaillant, tel que des retards de paiement ou des impayés. Il aura plus de difficultés à obtenir un prêt immobilier ou un crédit à la consommation, et sera susceptible de payer un taux d’intérêt plus élevé. En cas de nouvel incident de paiement, le risque de défaut de l’emprunteur augmente, ce qui peut mener à la saisie du bien immobilier ou à d’autres mesures de recouvrement par le créancier.

Risque de contrepartie

Ce risque survient lorsqu’une contrepartie dans une transaction financière fait défaut. Par exemple, si vous investissez dans un produit dérivé dont la valeur est liée à un titre sous-jacent qui fait défaut, vous risquez de perdre votre investissement. Par exemple, si vous investissez dans un produit dérivé dont la valeur est liée à un titre sous-jacent qui fait défaut, vous risquez de perdre votre investissement.

Les conséquences d’un défaut

Les conséquences d’un défaut peuvent être importantes pour les investisseurs, tant sur le plan financier que psychologique.

Perte financière

La perte financière la plus évidente est la perte de tout ou partie du capital investi. Cela peut avoir un impact significatif sur votre situation financière, notamment si vous comptiez sur cet investissement pour financer votre retraite ou d’autres projets importants.

Impact psychologique

Un défaut peut également avoir un impact psychologique important sur les investisseurs. La perte d’argent peut être source de stress, d’anxiété et de dépression. Il est important de ne pas sous-estimer cet aspect et de se faire accompagner si nécessaire.

Mettez en place des stratégies de protection

Heureusement, il existe plusieurs stratégies que vous pouvez mettre en place pour limiter votre exposition aux risques de défaut et protéger votre patrimoine :

Diversification

Ne mettez pas tous vos œufs dans le même panier. Répartissez vos investissements sur différents types d’actifs, émetteurs et zones géographiques. Cela vous permettra de réduire l’impact d’un défaut sur votre portefeuille global.

Analyse de la qualité du crédit

Avant d’investir dans un titre financier, prenez le temps d’analyser la qualité du crédit de l’émetteur. Renseignez-vous sur sa situation financière, son historique de remboursement et ses perspectives d’avenir.

Assurance-crédit

Pour certains types d’investissements, comme les prêts immobiliers, il est possible de souscrire une assurance-crédit. Cette assurance vous couvrira en cas de défaillance de l’emprunteur.

Choisissez une gestion professionnelle

Si vous ne vous sentez pas à l’aise pour gérer vos investissements vous-même, vous pouvez faire appel à notre cabinet de gestion de patrimoine à La Rochelle. Nous vous proposerons des solutions d’investissement adaptées à votre profil de risque et à vos objectifs patrimoniaux.

L’importance d’une information claire et transparente

En matière de gestion des risques de défaut, la qualité de l’information est essentielle. Notre équipe prendra le temps de vous expliquer en des termes compréhensibles les caractéristiques des produits financiers dans lesquels vous investissez, y compris les risques encourus. N’hésitez pas à nous poser toutes vos questions !

Le conseiller en gestion de patrimoine est là pour vous accompagner

Voici un dernier exemple, celui d’Émilie qui a pu se protéger contre les risques de défaut en 2024.

Lorsque Émilie a commencé à s’intéresser aux obligations à haut rendement, elle était attirée par les promesses de gains nettement supérieurs à l’inflation. Cependant, elle a vite compris que sans une sélection rigoureuse, elle risquait de subir des pertes dues à la hausse attendue du taux de défaut.

Consciente de la complexité du marché et de l’importance de distinguer les « sociétés zombies » des entreprises robustes, Émilie se trouvait face à un défi de taille. Comment investir intelligemment sans mettre son capital en péril ?

La solution pour Émilie a été de faire appel à un conseiller en gestion de patrimoine. Ensemble, ils ont établi une stratégie pour investir dans des obligations à haut rendement soigneusement sélectionnées, visant un gain net de 5,5 à 6 %.

Cet épisode rappelle l’importance d’une analyse approfondie et d’une gestion active pour investir dans des produits à haut rendement. En s’entourant d’expertise, Émilie a pu optimiser son portefeuille tout en minimisant les risques.

Faites des choix éclairés avec Capital Project Patrimoine

Souhaitez-vous naviguer avec succès dans l’univers des obligations à haut rendement ? Contactez Capital Project Patrimoine pour bénéficier d’une expertise qui fait la différence.

En intégrant la gestion des risques de défaut à votre stratégie d’investissement, vous contribuez à protéger votre patrimoine et à sécuriser votre avenir financier. N’oubliez pas que la diversification, l’analyse et la recherche d’un conseil professionnel sont des éléments clés pour minimiser votre exposition aux risques et atteindre vos objectifs patrimoniaux en toute sérénité.

Placements financiers : les obligations, un atout pour votre portefeuille

En tant qu’investisseur, vous recherchez sans cesse des moyens d’optimiser votre patrimoine et de générer des revenus passifs. Si les actions ont longtemps été considérées comme le principal moteur de performance, les obligations, souvent négligées, offrent une alternative intéressante pour diversifier votre portefeuille et atteindre vos objectifs financiers. Capital Project Patrimoine vous explique comment sortir gagnant de vos investissements !

Comprendre les obligations

L’obligation est un titre de dette émis par une entreprise ou un État. En achetant une obligation, vous prêtez de l’argent à l’émetteur, qui s’engage à vous rembourser le capital emprunté, assorti d’intérêts à une échéance déterminée. Imaginez que vous prêtez 10 000€ à une entreprise qui vous promet de vous les rendre dans 10 ans, en vous versant chaque année 5 % d’intérêts, soit 500€ par an. C’est le principe d’une obligation.

Deux grandes catégories d’obligations

Le monde des obligations se divise en deux grandes catégories : « investment grade » et « high yield ».

Les obligations « investment grade »

Considérées comme des placements sûrs, elles sont émises par des entreprises ou des États jugés solvables, c’est-à-dire ayant une faible probabilité de défaut de paiement. Le risque étant moindre, le rendement offert est également plus faible, généralement compris entre 2 % et 5 % par an.

Exemple : l’obligation émise par une grande entreprise multinationale comme Total ou L’Oréal est considérée comme « investment grade ». Imaginez que vous achetez une obligation chez une entreprise spécialisée dans la production et la fourniture d’hydrocarbures et d’autres sources d’énergies. Cette obligation qui vous rapporte 3 % d’intérêts par an. Cela signifie que pour 10 000€ investis, vous recevrez 300€ d’intérêts chaque année.

Les obligations « high yield »

Également appelées obligations à haut rendement, elles sont émises par des entreprises ou des États présentant un risque de défaut plus élevé. Ce risque accru se traduit par un rendement plus important, pouvant atteindre 6 % à 10 % par an, voire plus.

Exemple : une entreprise en pleine croissance mais avec un endettement important, ou un pays en développement, peut émettre des obligations « high yield ». Imaginez que vous investissez dans une obligation d’une entreprise en forte croissance qui vous rapporte 8 % d’intérêts par an. Pour 10 000€ investis, vous recevrez 800€ d’intérêts chaque année.

Avantages et inconvénients des obligations « investment grade » et « high yield »

Type d’obligationAvantagesInconvénients
Investment grade– Risque de défaut faible, comparable à celui d’un placement dans un livret d’épargne.

– Capital relativement stable, moins susceptible de subir des fluctuations importantes.

– Revenu régulier et prévisible sous forme d’intérêts.
– Rendement moins élevé que les obligations « high yield ». * Moins de potentiel de croissance du capital.
High yield– Rendement potentiellement plus élevé, pouvant dépasser les performances des actions sur certains cycles de marché.

– Opportunité de profiter de la croissance d’entreprises prometteuses ou de pays en développement.
– Risque de défaut plus élevé, pouvant entraîner une perte partielle ou totale du capital investi.

– Volatilité accrue du prix des obligations, susceptible de fluctuations importantes.

– Sensibilité aux changements de taux d’intérêt et à la situation économique.

Choisir entre « investment grade » et « high yield » : une question de profil d’investisseur

Le choix entre des obligations « investment grade » et « high yield » dépend de votre profil d’investisseur et de votre tolérance au risque.

Si vous êtes un investisseur prudent

Vous recherchez la sécurité avant tout et privilégiez un revenu stable. Ici, les obligations « investment grade » représentent un choix judicieux. Elles constituent un excellent moyen de diversifier votre portefeuille et de générer des revenus réguliers, comparables à ceux d’un livret d’épargne mais avec un potentiel de rendement légèrement supérieur.

Exemple : un retraité soucieux de préserver son capital peut investir une partie de son épargne dans des obligations « investment grade » d’entreprises solides et bien établies. Cela lui permettra de générer un revenu régulier pour compléter sa pension de retraite tout en limitant le risque de perte en capital.

Si vous êtes un investisseur plus dynamique

Si vous êtes prêt à accepter un risque plus élevé pour un potentiel de rendement accru, alors les obligations « high yield » peuvent être une option intéressante. Néanmoins, il est essentiel de bien se renseigner sur les émetteurs et de comprendre les risques encourus avant d’investir.

Exemple : un jeune actif avec un horizon d’investissement à long terme peut envisager d’allouer une part plus faible de son portefeuille à des obligations « high yield » d’entreprises en forte croissance. Cela lui permettra de bénéficier d’un rendement potentiellement plus élevé pour financer ses projets à long terme, tout en étant conscient du risque de défaut plus élevé associé à ce type d’obligations.

Au-delà des catégories, les autres facteurs à prendre en compte

Outre la notation de crédit, d’autres facteurs peuvent influencer le rendement et le risque associés à une obligation :

  • La durée de l’obligation (échéance) : plus la durée de l’obligation est longue, plus son rendement est généralement élevé, mais aussi plus elle est sensible aux fluctuations des taux d’intérêt.
  • La devise d’émission : investir dans des obligations libellées dans une devise étrangère peut vous exposer au risque de change, c’est-à-dire aux variations du taux de change entre votre devise et la devise de l’obligation.
  • La liquidité du marché : certaines obligations se négocient moins facilement que d’autres. Il est donc important de choisir des obligations liquides pour pouvoir les revendre rapidement si nécessaire.

Diversification et gestion active : les clés du succès pour vos obligations

La diversification est la clé pour réduire le risque global de votre portefeuille. Combinez des obligations « investment grade » et « high yield » avec d’autres classes d’actifs, comme les actions ou l’immobilier, en fonction de votre profil d’investisseur et de vos objectifs financiers.

Ajoutons à cela qu’il faut mener une gestion active de votre portefeuille d’obligations, cela pour s’adapter aux changements de marché et optimiser vos rendements. N’hésitez pas à contacter Capital Project Patrimoine pour obtenir des conseils personnalisés et vous permettre d’exploiter vos obligations. Notre équipe vous aidera à :

  • Analyser les différentes obligations et sélectionner celles qui correspondent à votre profil d’investisseur ;
  • Construire un portefeuille d’obligations diversifié et équilibré ;
  • Rééquilibrer votre portefeuille régulièrement en fonction de l’évolution du marché ;
  • Gérer le risque de change si vous investissez dans des obligations libellées en devises étrangères.

Donnez du sens à votre épargne retraite grâce à l’investissement responsable

La retraite approche à grands pas pour beaucoup d’entre nous. Et si l’idée de ne plus travailler peut être attrayante, il est essentiel de se préparer financièrement pour cette nouvelle étape de vie. Heureusement, il existe de nombreuses façons d’épargner pour la retraite. Mais avec la multitude d’options disponibles, il peut être difficile de savoir par où commencer.

C’est pourquoi cet article vous propose un guide complet pour donner du sens à votre épargne retraite en 2024, en mettant l’accent sur l’investissement responsable.

Investissement responsable : de quoi s’agit-il ?

L’investissement responsable, également appelé investissement durable ou investissement ESG (Environnement, Social, Gouvernance), est une approche d’investissement qui prend en compte les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance d’une entreprise en plus de ses performances financières.

En d’autres termes, il s’agit d’investir dans des entreprises qui ont un impact positif sur la planète, la société et la gouvernance d’entreprise.

Pourquoi investir de manière responsable ?

Les raisons d’investir de manière responsable sont nombreuses :

Vous contribuerez à un avenir plus durable : en investissant dans des entreprises qui respectent l’environnement, les droits sociaux et les bonnes pratiques de gouvernance, vous contribuez à un monde meilleur pour les générations futures.

Vous alignez vos investissements avec vos valeurs : l’investissement responsable vous permet d’investir votre argent dans des entreprises qui correspondent à vos convictions et à vos valeurs.

Vous générerez des retours potentiels : de nombreuses études ont montré que les investissements responsables peuvent générer des performances financières comparables, voire supérieures, aux investissements traditionnels.

Définissez vos objectifs de retraite

Avant de commencer, il est important de définir vos objectifs de retraite : combien voulez-vous toucher chaque mois ? Quel mode de vie souhaitez-vous mener ?

Prenez le temps de réfléchir à vos besoins et à vos envies pour vos années de retraite, en tenant compte de vos valeurs et de vos convictions en matière de développement durable.

Évaluez votre situation financière actuelle

Une fois que vous avez défini vos objectifs, évaluez votre situation financière actuelle : combien épargnez-vous chaque mois ? Avez-vous des dettes ? Quel est votre apport personnel ?

En ayant une visibilité sur votre situation financière actuelle, vous pourrez identifier les domaines dans lesquels vous devez faire des efforts pour atteindre vos objectifs de retraite responsables.

Choisissez les bons produits

Il existe une multitude de produits d’épargne retraite responsables disponibles, chacun avec ses propres avantages et inconvénients.

Parmi les options les plus courantes, on trouve :

Les régimes de retraite d’entreprise : si votre employeur propose un régime de retraite responsable, il est important d’y cotiser. Ces régimes offrent souvent des avantages fiscaux et un complément de votre employeur.

Les PER (Plan d’Épargne Retraite) responsables : les PER responsables sont des contrats d’épargne individuelle qui vous permettent de déduire vos cotisations de vos impôts. Vous pouvez choisir d’investir votre argent dans différents supports responsables, en fonction de votre profil de risque et de vos convictions.

L’assurance-vie responsable : certains contrats d’assurance-vie peuvent être utilisés pour préparer votre retraite de manière responsable. Il est important de bien comparer les offres avant de souscrire un contrat.

Déterminez votre stratégie d’investissement

Votre stratégie d’investissement dépendra de votre âge, de votre horizon de placement et de votre tolérance au risque :

  • Si vous êtes jeune et que vous avez un horizon de placement long, vous pouvez vous permettre de prendre plus de risques et d’investir dans des actifs plus volatiles, comme les actions d’entreprises innovantes dans le domaine des énergies renouvelables ou de l’agriculture durable.
  • En revanche, si vous êtes plus proche de la retraite, vous voudrez peut-être privilégier des investissements plus sûrs, comme les obligations d’entreprises ayant une forte performance ESG.

Mettez en place un plan d’épargne automatique

Le meilleur moyen d’épargner pour la retraite est de mettre en place un plan automatique, qui vous permettra d’épargner régulièrement, même si vous n’y pensez pas.

Vous pouvez programmer un virement automatique de votre compte courant vers votre compte d’épargne retraite chaque mois.

Surveillez vos investissements et ajustez votre stratégie

Il est important de surveiller vos investissements régulièrement et d’ajuster votre stratégie en cas de besoin.

  • Suivez les actualités des entreprises dans lesquelles vous avez investi. S’engagent-elles toujours dans des pratiques responsables ?
  • Vérifiez périodiquement la performance de vos fonds responsables.
  • Ajustez votre allocation d’actifs en fonction de l’évolution du marché et de vos objectifs de retraite.

Comprenez les labels d’investissement responsable

Pour vous aider à choisir des produits d’épargne responsables, il existe plusieurs labels reconnus :

Le label ISR (Investissement Socialement Responsable) : délivré par l’État français, ce label garantit que les fonds respectent des critères ESG stricts. Il existe différents niveaux d’exigence au sein du label ISR.

Le label Greenfin : ce label est le plus exigeant en matière d’investissement responsable. Il garantit que les fonds investissent dans des entreprises et des projets ayant un impact positif significatif sur l’environnement.

Le label Finansol : ce label est attribué aux fonds solidaires qui investissent dans des entreprises à fort impact social, comme l’inclusion économique ou l’accès au logement.

Choisissez un conseiller financier spécialisé en investissement responsable

Si vous avez besoin d’aide pour planifier votre retraite de manière responsable, vous pouvez consulter un conseiller Capital Project Patrimoine, spécialisé dans ce domaine, qui vous aidera à :

  • Définir vos objectifs de retraite responsables ;
  • Choisir les produits d’épargne adaptés à votre profil ;
  • Élaborer une stratégie d’investissement alignée avec vos valeurs ;
  • Comprendre les risques et les rendements potentiels des investissements responsables.

N’oubliez pas :

  • L’investissement responsable est un investissement à long terme.
  • Informez-vous et comparez les différents produits d’épargne et labels responsables avant de prendre une décision.
  • Ne négligez pas la diversification de vos investissements responsables pour limiter les risques.

Conclusion

Planifier sa retraite de manière responsable est un moyen concret de contribuer à un avenir plus durable. En suivant les conseils de cet article et en vous faisant accompagner par Capital Project Patrimoine, vous serez sur la bonne voie pour une retraite confortable et épanouissante.